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Election FIFA 2015 : Enjeux et portrait des candidats en lice
Publié le dimanche 8 fevrier 2015  |  Afriquinfos
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Jamais une élection n’a suscité autant de mobilisation. Pour les prochaines élections « présidentielles » de la Fédération internationale du football (FIFA), beaucoup de candidats se sont annoncés. Après moult remous, ce sont finalement quatre candidats qui s’affronteront pour présider la Fédération lors du Congrès électif de la FIFA, prévu pour le 25 mai 2015 à Zürich, en Suisse.

Ils étaient nombreux sur la liste avant le 29 janvier 2015, date de clôture des candidatures. Au terme de la date limite, ce sont finalement Luis Figo, Joseph Blatter, Ali Ben Al-Hussein et Michael van Praag qui s’affronteront pour conquérir le fauteuil présidentiel de la fédération pendant les cinq prochaines années.

Ces quatre candidats ont pu remplir les conditions imposées par les statuts de la FIFA pour être éligibles. Conditions qui ont frappé certains candidats qui ont dû se retirer de la course.

Selon les statuts de la FIFA, pour être éligible, un candidat doit avoir joué un rôle actif dans le football durant deux ans sur les cinq années ayant précédé la proposition de sa candidature, et présenter des déclarations de soutien d’au moins cinq associations membres sur les 209 que comprend la Fédération.

C’est cette dernière condition qui a eu raison du Français Jérôme Champagne. À 56 ans, il avait été le premier candidat à se lancer dans l’arène, en janvier 2014. Il a travaillé à la FIFA entre 1999 et 2010, comme Conseiller diplomatique de Joseph Blatter, Secrétaire-général adjoint de l’institution puis Directeur des relations internationales.

Quelques mois plus tôt, cet ex-employé de la FIFA avait lutté pour maintenir sa candidature. Il s’était agi pour lui de «défendre sa vision du football». «Aujourd'hui, la fracture s'accroît entre l'Europe et le reste du monde. Il n'est pas normal par exemple que le continent africain ou le continent sud-américain restent principalement voués à l'exportation de joueurs vers l'Europe. Il existe également des inégalités au sein d'un même continent, avait-il dénoncé dans une interview publiée sur le site OBS ».
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