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Mahamat Kamoun promet qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières mais insiste sur l’obligation de réserve
Publié le lundi 18 aout 2014  |  Agence Centrafrique Presse
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© AFP par PACOME PABANDJI
Le Premier ministre sortant André NZAPAYEKE de la République centrafricaine (gauche) pose à côté de son successeur Mahamat Kamoun
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Bangui - Le nouveau Premier ministre centrafricain, Mahamat Kamoun, a promis qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières dans le contexte actuel de réconciliation mais a insisté sur le sens de l’obligation de réserve dont doit faire montre ses collaborateurs de la Primature, conformément au sens de l’Etat dont ils devraient faire montre et qui malheureusement échappe un bon nombre, lors de la passation de service entre lui et son prédécesseur André Nzapayéké, jeudi 14 août 2014, à Bangui.


Mahamat Kamoun promet qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières mais insiste sur l’obligation de réserve
Cette passation de service a pour objectif de permettre à Nzapayéké de passer la main à son successeur, lequel devrait à son tour prendre officiellement ses fonctions de Premier ministre.

Désormais installé dans ses fonctions, Mahamat Kamoun a également promis de poursuivre dans le même sens de ce que son prédécesseur a entrepris, à savoir : la quête du « rétablissement de la paix et de la sécurité, la réconciliation nationale, l’assistance humanitaire, la relance économique ».

Aussi, a-t-il dit : « je vais apporter ma contribution à la réussite de la transition actuelle de manière apaisée aux fins qu’un retour à l’ordre constitutionnel ait lieu le plutôt possible dans notre pays ».

Pour atteindre ce résultat, Mahamat Kamoun s’attend à la disponibilité de l’équipe de la Primature et également à celle de André Nzapayéké.

Quant au Premier ministre sortant André Nzapayéké, il s’attend à ce que soit réussi la mise en œuvre de l’accord de cessation des hostilités signé le 23 juillet dernier à Brazzaville au Congo, sous la diligence du Président Denis Sassou Nguesso, aux fins d’amener la République Centrafricaine vers un accord global de paix, condition sine qua non d’un développement durable.
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