Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Centrafrique    Publicité
aBangui.com NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Centrafrique : tout savoir sur les négociations de Nairobi
Publié le mercredi 15 avril 2015  |  Jeune Afrique
Michel
© Autre presse par DR
Michel Djotodia et François Bozizé
Comment




Les pourparlers inter-centrafricains de Nairobi ont pris fin mercredi avec la signature par les anciens présidents Michel Djotodia et François Bozizé d'une déclaration d'engagement. Retour sur quatre mois de négociations secrètes.
C'est l'aboutissement de plus de quatre mois de tractations. Les anciens présidents Michel Djotodia et François Bozizé ont signé mercredi 14 avril une déclaration d'engagement dans laquelle ils promettent de se rallier à la feuille de route de la transition, se disent prêts à participer au Forum programmé à la fin du mois et s'engagent à ne pas perturber les futures élections. Si le document n'a pas été rendu public, son contenu devrait se rapprocher de la précédente déclaration déjà paraphée le 21 février, mais sans cérémonie officielle.

Cette cérémonie, plusieurs fois reportée, a finalement eu lieu à la présidence kényane en présence du chef de l'État Uhuru Kenyatta, du vice-président, Willima Ruto, du Premier ministre Ougandais, Ruhakana Rugunda, et du directeur de cabinet de Denis Sassou Nguesso, Firmin Ayessa. Plusieurs diplomates accrédités à Kampala ont accepté l'invitation. La France, pas associée et opposée à une démarche qu'elle juge non pertinente, a décliné.
"L'Afrique d'aujourd'hui, c'est comprendre que l'instabilité de nos voisins est aussi celle de nos pays", a déclaré Kenyatta en préambule appelant la communauté internationale à reconnaître l'accord. "Peu importe comment nous les avons réunis à la même table. Le plus important est qu'ils y soient et qu'ils parlent de paix". Bozizé et Djotodia ont ensuite lu leur déclaration d'engagement avant de se serrer la main tout sourire sous les applaudissements de la salle.
... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires


Comment