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Droit de réponse suite à l’article de monsieur Nestor Nga Etoga intitule: RCA-élections présidentielles: Sebiro, le laveur des macchabées et le syndicat des anciens premiers ministres? paru le 29 aout 2015 dans le journal tchadien alwhida info
Publié le lundi 31 aout 2015  |  Centrafrique Libre
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Considérons qu’il n’existe pas autre, qu’une seule fois que M. Sebiro Maurice Wilfried, Directeur de publication du journal Centrafrique Libre est recruté pour valoriser l’image ou faire la promotion des anciens premiers ministres Anicet Georges Dologuélé, Martin Ziguélé et Nicolas Tiangaye dont les noms ont été nommément cités dans votre article.

Suite à cette accusation dont je qualifie personnellement étant comme des propos attaquatoires portant préjudices sur ma modeste personne et qui ne respecte pas la déontologie de ce noble métier qu’est le journalisme. En effet je confirme en toute conscience que je n’ai jamais été recruté par une tierce personne afin de piloter sa cellule de communication. Il suffit simplement d’aller sur mon site www.centrafriquelibre.info, rubrique Politique et de lire tous les articles que j’ai pondus sur ces autorités pour vérifier cette information.

C’est également avec indignation que j’apprends dans cet article que je suis devenu le syndicat de ces anciennes hautes personnalités, et pourtant je suis presque une persona non gratta au sein de la classe politique centrafricaine pour ma propension à lutter contre les inégalités criantes et à dénoncer au quotidien tout ce qui porte atteinte à la dignité humaine.

Comme on ne cesse de le dire, généralement la charge des preuves incombe au demandeur. Je demanderai à l’auteur de cet article et au site d’informations Alwhida info de rapporter les éléments de preuve qui confirment l’effectivité de la signature des contrats qui ont été respectivement été signés entre la direction de mon journal et ces autorités. L’absence de la production de tout élément de preuves confirmera une fois de plus que votre article est le fruit d’une imagination délictuelle.

S’agissant d’un volet de cet article au sujet de mon supposé recrutement à la morgue de Chalon en Champagne avec un permis de conduire, parce que ne possédant pas de diplômes, cela relève de l’ignorance et d’une pure méconnaissance de la législation française en matière du travail. L’auteur de cet article, ce savant surdoué, sur-diplômé et meilleur journaliste camerounais de tous les temps, ce pauvre Nestor Nga Etoga n’a sans doute pas trouvé mieux que d’être le porte flingue de M. Michel Amine, pseudo et néophyte homme politique camerouno- centrafricain.

Prenons connaissance de ce texte calomniateur avec les recoupements des informations à mon actif, je confirme dans la solennité qu’il émane de la cellule de communication du soit disant Michel Amine, ancien pensionnaire de la prison des Beaumettes à Marseille en France et actuel prisonnier de la justice centrafricaine. Cet homme dont le lieu de naissance reste un mythe, est né avant son ombre le même jour à Sibut et à Yaoundé soit deux pays différents, selon ses deux passeports.

Au regard de ces éléments probants, la justice centrafricaine n’a malheureusement frappé M. Michèle Amine que d’une légère condamnation à 6 mois de sursis, ce qui démontre tout de même et une fois de plus la moralité douteuse de ce bandit de grand chemin.

Par contre lors de notre investigation journalistique, nous avons découvert que sieur Michel Amine est un mythomane et usurpateur des titres. Il n’est pas titulaire d’un diplôme d’ingénieur en pétrochimie comme il le prétend, n’a jamais enseigné dans une université en France et ne possède aucune entreprise dans le monde.

Si effectivement il était avéré que ce soit disant Michel Amine était un ingénieur, je l’inviterais après la lecture de ce droit de réponse à brandir les éléments fiables afin de lever le doute et la suspicion qui planent encore sur ses références universitaires. En cas de silence ou de refus, cela confirmera effectivement la qualité d’usurpateur qui lui est reconnue en dernier ressort après ses mensonges d’anthologie.

Je fais avec modestie ce noble métier d’informer l’opinion publique avec tous les risques qui l’accompagnent sans me douter que cela puisse heurter la sensibilité d’autres personnes en quête de reconnaissance ou qui veulent parfois utiliser la duperie, l’escroquerie, l’usurpation, la criminalité, la traîtrise ou la fourberie pour parvenir au pouvoir. Après tout la fin justifie les moyens. N’ayant aucun calcul politique, aucun agenda caché, ma vision est de dire la vérité et d’informer, pour rendre la parole et libérer le peuple centrafricain, fin de citation.

Il me serait pas étrange d’évoquer ce proverbe africain : «La vérité attend. Seul le mensonge est pressé »

Afin de ne pas tomber dans les débats de caniveaux et dans le souci de préserver le sérieux et l’image de votre journal, je vous vous prie monsieur le Directeur de publication, de bien vouloir publier ce droit de réponse.

En attendant le jour de la vérité, je vais devoir prendre mon mal en patience et me consoler grâce à la citation du français Alain Verhaeren: «Les personnes honorables souffrent toujours plus que les autres, car elles préfèrent la vérité au mensonge, même si elle est insupportable à entendre».

Wilfried Maurice SEBIRO
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