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Les élections : qui sont ces anciens ministres au désarroi, qui courent derrière le pouvoir, des échoués
Publié le samedi 5 septembre 2015  |  Centrafrique Libre
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Si vous prenez les Partis politiques et par un simple décryptage sémantique des noms, vous vous rendez compte de la pauvreté du concept de base, si non une pensée vague, sans concept de fond et de forme. Un parti politique porte une idéologie, un courant de pensée économique et sociale dans le but de bâtir une société assez cohérente et équilibrée.

Appréciez par vous mêmes la qualité du concept de: USD-COMODES (union des sociaux-démocrates pour le contrat moral du développement économique social). Derrière ce concept, il y a la volonté, la liberté, la créativité et l’éthique. Bref, il y a une vision du monde qui ne trompe pas.

Les partis politiques, à 95%, sont des concepts vagues. De la porosité de la pensée, il y a la pauvreté de ceux qui les naissent.

Les candidats aux improbables élections de 2015, nombreux sont des avides, des improductifs génétiquement programmés ; des anciens ministres qui portent la dette de la faillite de l’État.

Les candidats indépendants, c’est l’autre catégorie, c’est des individus, ils sont dans une logique individualiste et donc non associative. Ils sont dans un esprit étriqué et avide d’intérêt personnel. Ils sont indépendants (des spécialistes d’esquive) ils veulent paraître nouveaux alors qu’ils sont cités dans la faillite de l’État pour les uns et pour les autres des rêves. Ils espèrent rester dans le système; ils sont au désarroi. Ils sont munis des accessoires et arpentent les rues des quartiers, ils organisent les matchs de football et des petits repas. Des humanitaires de honte et non des politiques qui portent en eux une certaine idée de société au sens du terme ; au lieu de partager de la pensée du destin en commun, ils partagent de la nourriture à la place de la pensée politique. Ils sont idéologiquement pauvres.

Le douloureux constat, c’est qu’ils sont pour la plupart des échoués, si vous permettez de parler comme à l’école. Des échoués qui parlent du renouveau, du rassemblement, du changement à la télé, dans la presse et ça dans une hilarité totale comme si, ils avaient oublié leur échec dans les gouvernements successifs auxquels ils ont participé, et qu’ils n’ont rien réussi, si non leur enrichissement personnel. Ils font fi de tout et pensent apparaître de nouveau. Les faits marquant leur échec sont là, nous allons les révéler le moment venu.

Pendant la campagne, il va certainement leur manquer du sommeil. Et ceux qui trainent les casseroles, nous allons les tinter fort que le bruit les empêchera de dormir. La campagne sera très rude que beaucoup laisseront leur peau. D’ailleurs les populations les attendent. Leurs distributions d’argent et de nourriture dans les quartiers et les villages sont inutiles. Leurs achats d’âmes et de consciences ne suffiront pas, ils sortiront pauvres de ces élections. Leur fin est proche.

Pendant cette campagne, rien ne sera oublié, il faut tout dire, ne rien laisser. Les auteurs, ils en auront pour leurs comptes.

Ceux qui utilisent déjà le mensonge, qu’ils sont les candidats favoris de la France, une clé qu’ils se servent pour l’instant. A vrai dire, ils n’ont pas cette clé. Le peuple centrafricain veut une personnalité propre, neutre et non trempée dans les magouilles de ce pays. Un homme au dessus des turpitudes et élevé, doué de sens et de vision, résolu et pénétré de conscience et du devoir de défi. Ce cri du peuple centrafricain, la France elle aussi l’a entendu.

Les centrafricains veulent une nouvelle classe politique. Les centrafricains veulent écouter des noms nouveaux et entendre de nouveaux sons de cloche. Et ça, ce ne seront plus ces gestionnaires à col blanc qui ont causé la faillite de l’État. Une équipe nouvelle acquise à la cause des centrafricains et ayant un réel-management.

Après ces élections, les anciens ministres, ces échoués seront renvoyés définitivement à la maison, à leurs « mamans ».

Robert ENZA, Entrepreneur politique
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