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Centrafrique : massacre de la population et un état vide
Publié le lundi 28 septembre 2015  |  Centrafrique Libre
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Est-ce qu’on ne peut pas réarmer les Forces Armes Centrafricaines pour lutter efficacement contre cette guérilla urbaine? Cette tragédie n’est pas une guerre confessionnelle. Mais, du terrorisme. Donc, il faut mettre en place des unités spéciales pour traquer ces inciviques, étrangers et nationaux qui martyrisent la population Centrafricaine.

Madame Catherine Sampa Panza et son gouvernement représentent le mal et la souffrance des Centrafricains ! Le Diable en personne qui tue et se plait à contempler le malheur de tout un peuple s’appelle tous ceux qui ont soutenu les soit disant criminels et mercenaires Tchado-Soudanais de la seleka retranchés dans le conclave du km 5.

Le peuple Centrafricain doit se lever et combattre ce mal au cœur de notre société! Les morts dépassent tout entendement et tout raisonnement! L’organisation des marches pacifiques dans tout le pays y compris à l’étranger est souhaitable,pour demander aux autorités de rendre leurs tabliers.

A qui donc confier la charge de protéger la population Centrafricaine ? Face au vide, la population doit manifester son mécontentement contre le mutisme de la MINUSCA. L’ennemi qui massacre de paisibles citoyens, est connu de tous à Bangui la population « coupable » doit manifester son mécontentement pour dénoncer les massacres qu’elle subit.

A Bangui, tout est fait pour méconnaître le martyr de cette population, voire tout simplement son existence. Les autorités n’auront même pas eu la présence d’esprit d’organiser un hommage national à la mémoire des victimes, de mettre, comme dans n’importe quel pays, les drapeaux en berne, de s’adresser solennellement à la nation et d’initier des actions de solidarité en faveur des victimes, des rescapés et de leurs familles. C’est-à-dire tout ce qu’il y a de plus normal lorsque les dirigeants d’un pays prennent conscience qu’ils ont failli à leur mission de prévenir des drames comme ceux des 3eme et 5eme. Ici, rien à faire ! Personne n’est responsable de rien. En Centrafrique, l’irresponsabilité gangrène la vie politique d’un bout à l’autre. Je condamne avec force la tuerie de peuple Centrafricain.

Vie ou mort le peuple vaincra
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