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Brazzaville: à peine signé, l’accord sur la Centrafrique déjà menacé
Publié le jeudi 24 juillet 2014  |  RFI
Mohamed-Moussa
© Autre presse par DR
Mohamed-Moussa Dhaffane, un des trois fondateurs de la Seleka et chef de la délégation
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Le Forum de Brazzaville pour la paix en Centrafrique s'est achevé mercredi soir par la signature d'un accord de cessez-le-feu a minima, loin des objectifs fixés. L'accord a été signé par une quarantaine de représentants, centrafricains et étrangers. Mais déjà, des voix se font entendre pour dénoncer le texte, notamment au sein de la Seleka.

Pour Denis Sassou-Nguesso, le président congolais et médiateur de la crise centrafricaine, il y avait de la satisfaction après cette signature : « Il fallait bien commencer par la cessation des hostilités. Les engagements qui viennent d’être pris constituent les fondations, les repères pour un long processus à poursuivre et à consolider en terre centrafricaine ».

Les deux premiers à parapher l'accord de fin des hostilités ont été Mohamed Moussa Dhaffane, pour la Seleka, et Patrice-Edouard Ngaissona, pour les anti-balaka. Par ce texte, les deux groupes armés s'engagent à mettre un terme aux exactions, à cantonner leurs hommes, à lever les barrages et à permettre la libre circulation dans les zones qu'ils contrôlent. Mais rien ne semble prévu pour le désarmement. Au vu des conditions de son accouchement, la question de la viabilité de cet accord minimal se pose d’ores et déjà.
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