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La Centrafrique toujours en quête de cohésion sociale
Publié le mercredi 3 mai 2017  |  Dw-World
L`entrée
© Autre presse par DR
L`entrée de la ville de Damara.
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Attirer l’attention sur la situation en République centrafricaine. Les plus importantes personnalités travaillant dans le domaine humanitaire aux Nations unies ont lancé un appel dimanche dans ce but.

Les groupes rebelles continuent en effet de s’affronter. Une instabilité qui a des conséquences sur les populations. Les organismes d'aide tirent la sonnette d’alarme concernant la situation humanitaire en Centrafrique.

Iyeda, un village qui se trouve dans une zone sensible: à l'ouest la milice 3R contrôle la ville voisine Koui. 3R qui signifie « retour, récupération, réhabilitation » se compose de bergers à prédominance musulmane du groupe ethnique des Peuls. A l'est, dans la ville Makunzi Wali, les anti-Balaka, majoritairement chrétiens dominent. Iyeda attaqué en octobre 2016 a presque complètement (été) brûlé et est maintenant une ville fantôme. D'un côté, le colonel Passy Goumou, un chef des anti-Balaka. De l'autre, son plus grand ennemi, la milice 3R de Koui, dirigée par le commandant Sidiki Abass - il prétend avoir plus d'un millier de combattants. L'organisation des droits de l'homme Human Rights Watch accuse le groupe de violations des droits de l'homme, y compris de torture et de viol. Le commandant Abass nie et explique "nous les Peuls, nous ne sommes pas en sécurité ici. Nous sommes constamment attaqués par les bandits et les anti-Balaka Le gouvernement ne prend pas ses responsabilités, alors nous devons le faire "
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