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La MINUSCA salue l’amélioration de la situation sécuritaire et la restauration de l’autorité de l’Etat dans l’Ouham
Publié le jeudi 8 juin 2017  |  Agence Centrafrique Presse
Vladimir
© Autre presse par DR
Vladimir Monteiro, porte-parole de la Minusca.
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Bangui - Le Porte-parole de la Mission Multidimensionnelle Intégrée pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA), Vladimir Monteiro, a salué, lors d’un point de presse, mercredi 7 juin 2017 à Bangui, l’amélioration de la situation sécuritaire et la restauration de l’autorité de l’Etat dans la préfecture de l’Ouham, suite aux appuis multiformes du bureau de la MINUSCA basé à Bossangoa.



Le but de ce point de presse est d’informer l’opinion sur le retour progressif de la paix et la restauration des services déconcentrés de l’Etat dans la préfecture de l’Ouham grâce aux appuis financiers, techniques et militaires de la MINUSCA.

Le chef de Bureau de la MINUSCA de Bossangoa, Bara-Dieng, a précisé que la MINUSCA s’est investi dans la mission de mise en œuvre des activités de pré Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement (DDRR) au profit de 196 ex-combattants qui sont reconvertis dans des activités génératrices de revenus.

En jouant la médiation, la MINUSCA a réussi à réunir autour d’une table six leaders des Anti- Balaka et six leaders des ex-Seleka, ce qui permettra la signature prochaine d’un pacte dont les clauses seront dévoilées plus tard, a-t-il a expliqué.

Pour sa part, le Secrétaire général de la ville de Bangui, Ferdinand Moussa, a ajouté que sur les 59 services publics que comptent la préfecture de l’Ouham, 54 sont opérationnels :
trois brigades de gendarmerie sur onze, notamment à Bossangoa, Nana Bakassa et Bouca sont opérationnelles et un seul commissariat fonctionne sur six.

Il a aussi saisi l’opportunité pour féliciter les efforts consentis par le contingent camerounais de la MINUSCA à Bossangoa.

Il a enfin attiré l’attention des chefs de guerre qui détiennent encore illégalement des armes de guerre et qui sèment la terreur dans les villes d’Alindao, Bangassou et Mobaye sur les conséquences néfastes de leurs actes.




Basile REBENE/ACAP
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