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Centrafrique : Une partie de la société civile exige l’ouverture d’une information judiciaire sur les allégations de coup d’Etat
Publié le mercredi 19 juillet 2017  |  RJDH Centrafrique
Fernand
© Autre presse par DR
Fernand Mandé-Ndjapou de la société civile
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Bangui — Une partie de la société civile a exigé de l’appareil judiciaire l’ouverture d’une information judiciaire sur les allégations de coup d’Etat portées par les proches de Touadera contre Méckassoua et plusieurs personnalités politiques du pays. Propos soutenu lors d’une conférence de presse ce 17 juillet à Bangui.

Des leaders de la société civile ont fait savoir sa position quelque jour après celle de l’Assemblée nationale qui exige aussi l’ouverture de l’information judiciaire ainsi que la Présidence qui récuse la qualité des ceux qui portent ces accusations en appelant au calme. Ces accusations de coup d’Etat alimentent les spéculations sur la scène politique après l’interpellation par la police des présumés coupables de conspiration.

Seule la justice selon Me Fernande Mandé-Ndjapou de la société civile est habilitée à faire la lumière sur ces graves accusations formulées et au risque de fragilisation des Institutions nationales. « Les accusations portées ces derniers temps constituent des manœuvres internes qui ont pour but de déstabiliser l’organisation socio-politique de l’Etat, et de porter atteinte à l’intégrité du territoire en temps de paix. C’est ainsi que, nous des organisations de la société de la civile du pays, demandons l’ouverture d’information judiciaire pour que la lumière soit faite sur les différentes accusations sur nos institutions de la République » s’est-t-il prononcé.

Fernand Mandé-Ndjapou a critiqué l’usurpation de titre et de qualité des porteurs d’accusations. « La qualité de certaines personnes par rapport aux différentes accusations ne sont pas autorisée. Puisse que la Justice est là, on ne doit pas se permettre de se lancer dans le jeu susceptible de livrer des informations de nature à compromettre la quiétude des concitoyens » a-t-il ajouté.

Le parquet de Bangui n’a pas réagi après les demandes d’ouverture de l’information judiciaire sur les cas d’atteinte à la sûreté intérieur de l’Etat
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