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Le ministre Léopold Mboli-Fatrane préside une réunion avec les nouveaux intégrés de son département

Publié le mardi 17 juillet 2018  |  Agence Centrafrique Presse
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© Autre presse par DR
Léopold Mboli Fatran ,ministre des mines, de l’énergie et de l’hydraulique.
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Bangui,(ACAP)– Le ministre des Mines et de la Géologie, Léopold Mboli-Fatrane, a présidé, lundi 16 juillet 2018 à Bangui, une première réunion regroupant les anciens cadres et ceux nouvellement intégrés audit département.

L’objectif de cette réunion est d’attirer l’attention des nouveaux agents qui seront affectés dans les sociétés et coopératives minières, et dont la mission combien difficile requiert de leur part abnégation, humilité et sagesse afin d’éviter des conflits avec les partenaires.

Selon le membre du gouvernement, leur mission consiste à assurer une sensibilisation permanente des acteurs au regard des textes règlementaires, être présent dans toutes les phases de production, communiquer les résultats à la direction générale et veiller au strict respect des limites de permis et du plan d’exploitation et dresser un rapport périodique.

En effet dans le cadre de la mise en valeur des ressources minières de la République Centrafricaine, le chef du département des Mines a souligné que plusieurs titres miniers ont été octroyés aux coopératives et sociétés minières, afin de contribuer au développement du pays, dans le respect des textes en vigueur.

Le ministre Léopold Mboli-Fatrane a indiqué que "leur désignation dans ces structures est un message de transparence que le gouvernement veut établir avec tous les partenaires du secteur minier".

Il convient de noter que ces nouveaux fonctionnaires seront affectés auprès des sociétés et coopératives minières détentrices de permis, installées dans la partie sud-ouest de la République Centrafricaine, dans les zones conformes au processus de Kimberley.

Membre du processus de Kimberley depuis 2002, La République Centrafricaine a été mise sous embargo en 2013 après la prise du pouvoir par la coalition rebelle "Séléka". Cet embargo a été partiellement levé pour la partie sud-ouest du pays, suite au retour à l'ordre constitutionnel en mars 2016.

François Biongo / ACAP
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