Centrafrique : « nous avons respecte les engagements contenus dans le contrat avec panos » dixit le DG de G3K sur l’affaire de réhabilitation de la maison de la presse

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Publié le mardi 6 janvier 2015 | Centrafrique Libre

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Conférence de presse de l`Alliance des Forces Démocratiques pour la Transition (AFDT)

Le Directeur Générale de l’entreprise G3K Arthur Barnabé Dangbi a affirmé ce jour dans un entretient à Centrafrique Libre que son entreprise a respecté tous ses engagements sur la question de réhabilitation de la maison de la presse. Ce dernier s’est dit confiant par rapport à l’audit annoncé par l’ambassade de France qui a mis les fonds à la disposition de l’Institut Panos pour les travaux sur la maison de la presse et des journalistes.

Le Directeur Générale de l’entreprise G3K Arthur Barnabé Dangbi se dit rassuré par ce que ni le choix de son entreprise ni le respect de contrat ne souffrent d’anomalie « nous n’avons pas été choisi de grés à grés. C’est à l’issue d’un dossier déposé soutenu par un dévi que l’entreprise a été choisie pour faire ces travaux ».

Arthur Barnabé Dangbi pense qu’il n’ya pas à s’inquiéter parce que son entreprise a réussi à assumer ses responsabilités conformément au contrat « dans le contrat, on nous avait demandé de réhabiliter la maison et non de l’agrandir comme l’on veut le faire croire aujourd’hui. Nous nous sommes tenus aux clauses du contrat que nous avons assumées avec responsabilité » a-t-il précisé.

Ce dernier s’est dit confiant quant à un éventuel audit « avant la remise de la maison à l’Institut Panos, un service a été désigné par l’autre partie pour contrôler si les choses étaient faites de manière claire. Le bureau désigné s’est dit satisfait du travail fait et a déclaré recevable la maison réhabilité conformément au contrat signé. Pour le moment, nous sommes sereins par rapport à n’importe quel contrôle d’où viendrait-il ».

Le Directeur Générale de l’entreprise G3K Arthur Barnabé Dangbi a brandi le contrat qui le lie à l’Institut Panos, contrat que nous publions ci contre. Le cout total des travaux financés par l’ambassade de France s’élève à 17 millions de Fcfa.

Notons que la remise officielle prévue pour le 16 décembre dernier n’avait pas eu lieu suite aux réticences de l’ambassadeur de France.

Sylvestre Sokambi