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Nos commentaires relatifs aux déclarations et interviews des candidats à la présidentielle 2015
Publié le mercredi 21 janvier 2015  |  corbeau news
Me
© Autre presse par DR
Me Crépin Mboli-Goumba candidat à la présidentielle de 2015
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Me Crépin MBOLO GOUMBA du PATRIE
« …il n’y a plus que pogroms, assassinats et vengeances ».
Le gouvernement de transition de Michel Djotodia qui était composé de quatre supers ministres d’Etat dont le candidat Me Crépin MBOLI GOUMBA en charge des Travaux Publics n’a osé dénoncer les crimes odieux des séléka durant la première transition, ni prendre son courage pour démissionner du gouvernement Tiangaye qui a failli. Ni école, ni centre de santé pour ne pas dire hôpital n’a été créé. Ne parlons pas de route si ce n’était que du badigeonnage en goudron des nids d’oiseau des tronçons d’artères de Bangui avant la fête nationale de 2013 qui a échoué.
Un Candidat imposé par la France?
La France veut nous imposer un Président?
Nous pensons que l’ère de la dictature et de l’imposition extérieure est révolue. La France est l’un des pays de la démocratie et des droits de l’homme du premier rang mondial. Le peuple centrafricain aspire aujourd’hui à la paix et espère choisir un dirigeant en toute indépendance et liberté dans le calme. Si d’office le futur nouveau président de la République centrafricaine est choisi par la France, c’est fausser les jeux démocratiques, ça serait de l’anarchie et cela n’honore pas l’Élysée.
Sylvain PATASSE – Emile Gros NAKOMBO – Yvon KAMACH
Les trois candidats hommes d’affaires souhaiteraient gérer la Centrafrique comme on gère une entreprise ?-
Ce sont des chefs d’entreprises qui travaillent beaucoup plus à l’extérieur du pays qu’à l’intérieur, excepté Yvon KAMACH qui bénéficie de l’héritage KAMACH qui fait partie des trois grandes premières entreprises nationales centrafricaines après l’Etat. L’on s’interroge s’ils ne vont pas voir d’abord leurs intérêts personnels et égoïstes ? Puisque généralement, les hommes d’affaires ont cette qualité. Ils auraient dû commencer à nous construire des écoles pour les jeunes générations et centres de santé dans les provinces. D’autres candidats qui exploitent le bois centrafricain n’ont pensé un jour créer une usine de fabrication des cahiers en Centrafrique pour les écoliers centrafricains. Chaque année, les cahiers utilisés par les élèves centrafricains sont importés alors que nous sommes un pays producteur de bois. C’est la course au pouvoir, la chance est pour toutes et tous.
Guy MOSKIT et Cyriaque NGONDA du PNCN
Tous deux anciens ministres de la communication de la Présidence et du Gouvernement, il n’y a eu un changement positif dans la sphère des médias centrafricains. Les recommandations des Premiers Etats Généraux des Médias Centrafricains (PEGMC) ont été classées dans le tiroir. Les journalistes de la radio et de la télévision Centrafrique continuent de gagner mensuellement le salaire d’un catéchiste. Pas de subventions à la presse nationale. Que peut-on attendre de leurs programmes concrètement pour changer la Centrafrique ? Toutefois, nous sommes d’accord pour l’application stricte des recommandations du futur forum politique tant souhaité par l’un d’entre eux.
Jean WILLYBIRO SAKO et Charles Armel DOUBANE
Selon les infos, ces derniers courent vite plus que les autres vers les habitants des provinces mais quelle bonne proposition ont-ils fait à cette population meurtrie pour changer et améliorer ses conditions de vie ? Surtout qu’on sait que quand ils occupaient des fonctions d’Etat, personne ne s’est rapprochée des pauvres paysans, ne fut-ce que pour échanger et voir comment ceux de l’arrière-pays vivent dans l’extrême pauvreté. La RCA est toujours classée parmi les cinq derniers pays les plus pauvres au monde. « Le mensonge risque de courir plus vite que la vérité ».
NDLR : Nos commentaires ont pour but d’inciter les candidats à la présidentielle de 2015 à se corriger et adopter une bonne démarche politique vers les électeurs et non de les discréditer. Nous avons besoin d’un candidat rassembleur qui a les mains propres, qui n’a pas trahi la nation, capable de développer la République centrafricaine dans tout son ensemble sans exclusion des régions, des ethnies et communautés. Selon nos constats ; la plupart des leaders politiques centrafricains n’écoutent pas les conseils de leurs proches collaborateurs et commettent des erreurs monumentales. On relève un déficit chronique de communication au niveau de leurs staffs politiques respectifs. Même quand ils accèdent à la magistrature suprême de l’Etat, c’est l’entêtement à une vitesse supérieure. Le démocrate d’hier devient dictateur durant son mandat.
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