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Les tribulations d’une Centrafricaine en Mauritanie
Publié le mardi 27 janvier 2015  |  lauthentic.info
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Fani Piabale est une citoyenne centrafricaine de 34 ans mariée à un commerçant mauritanien qui vivait dans ce pays où beaucoup de ses compatriotes tiennent boutique dans les quartiers de Bangui, Miskine, Boyrabe, Lac Kouanga, Cinq Kilo, etc. C’est en 2005 que Mohamed Ould Yeslim, tombé sous les charmes de cette belle et élégante centrafricaine l’épousa. Ils eurent trois enfants, deux garçons et une fille.

Lors d’un de ses voyages en Mauritanie, Mohamed Yeslem tarda à revenir. Sa famille l’aurait obligé à épouser une femme de son terroir, mais il continuait à envoyer de l’argent à sa famille en Centrafrique. Fani qui voulait coûte que coûte venir vivre avec son mari, car apparemment il ne comptait plus retourner, en informa Mohamed qui lui envoya suffisamment de l’argent pour le rejoindre à Nouakchott. Mohamed l’accueillit elle et les enfants dans sa maison. Fani vécut en harmonie avec sa coépouse pendant plus d’un an, puis brusquement Mohamed la divorça. Il lui prit une maison louée à 15.000 UM et lui donnait chaque jour sa dépense.

Puis, quelque temps après, un homme vint demander la main de Fani. Elle en informa Mohamed qui donna son feu vert. Le mariage ne dura pas longtemps et Fani se retrouva de nouveau, seule.

Elle contacta alors Mohamed en lui expliquant qu’elle est de nouveau célibataire sans soutien et qu’elle ne connaît personne à Nouakchott. Elle lui demanda sa prise en charge avec les enfants, ce que Mohamed aurait catégoriquement refusé de faire. Mais comme il semble être un homme de bon cœur, Mohamed recommença à payer le loyer et la dépense jusqu’au jour où Fani exprima le désir de retourner en Centrafrique voir ses parents et sa famille, puis revenir. Mohamed lui demanda de laisser alors les garçons et de n’amener que la fille.
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