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Centrafrique : pourquoi les négociations pour la libération d’Armel Sayo piétinent ?
Publié le jeudi 5 fevrier 2015  |  Jeune Afrique
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© AFP par STR
Major Armel Sayo, chef de la Révolution et de la justice (RJ) d`un groupe armé, anciennement connu comme l`Union des Forces armées centrafricaines pour la Restauration de la Démocratie (UFACARD), et des Sports d`Afrique centrale et de la Jeunesse
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Cela fait maintenant près de dix jours qu'Armel Sayo, ministre de la Jeunesse et des sports, est détenu par des membres d'une milice anti-balaka. Les négociations pour obtenir sa libération bloquent toujours. Explications.

Nous sommes le dimanche 25 janvier à Bangui. Il est environ 9 heures (heure locale). Comme chaque semaine, Armel Ningatoloum Sayo, accompagné de son épouse, Nicaise-Danielle, et de son frère cadet, Martial Louba, vient d'assister à la messe donnée par l'église protestante de Galabadjaune dans le 8e arrondissement de la capitale centrafricaine, quand son véhicule est bloqué par un taxi. Quatre hommes armés en sortent. Tirs de sommation. Le ministre, un capitaine des Forces armées centrafricaines (Faca) et ancien rebelle, tente de les raisonner. Rien n'y fait, les ravisseurs l'emmènent non sans avoir récupéré son téléphone et des effets personnels appartenant à sa famille.

>> Pour aller plus loin : François Toussaint, un mercenaire belge sans foi ni loi
L'enlèvement intervient deux jours après la libération de la travailleuse humanitaire française et d'un religieux centrafricain. Les autorités prennent la chose à bras le corps. Un conseil de sécurité se réunit autour de la présidente de transition Catherine Samba-Panza.
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