Une semaine après le désaveu par la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC) de l'accord négocié à Nairobi par des délégations de l'ex-Seleka et d'anti-balaka, les signataires sont toujours au Kenya. Cet accord prévoyait la cessation des hostilités, la mise en place d'un programme de désarmement et de réinsertion des combattants dans les forces armées, mais aussi de nouvelles autorités de transition et une révision de la charte, ainsi que la possibilité d'une amnistie générale. Ce sont ces derniers points qui avaient provoqué un rejet massif du texte à Bangui comme à l'extérieur du pays.
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