Monsieur le Directeur de la publication du Journal Centrafrique libre en guise de rappel le manque de déontologie professionnel qui s’accompagne d’une diffamation est une infraction qui est punie par la loi. Suite à la publication de votre article intitulé où sont passés les Gardiens de la Constitution Centrafricaine ? La manifestation de la vérité est un instrument de cohésion sociale et dignité humaine, au regard des accusations non fondées le Collectif «Touche pas à ma Constitution » par la voix de son Coordonnateur Général visé particulièrement de votre article communique ce qui suit : Vu la lourdeur de cette accusation, le Collectif « Touche pas à ma Constitution » s’adresse auprès de votre organe de presse d’apporter les éléments de preuves qui confirmeront l’effectivité de ma présence étant le Coordonnateur Général de ce Collectif à Bangui au mois de Janvier 2015, en vue de conclure un pacte avec les Autorités de la Transition et la proximité de ce collectif avec l’AFDT et le MPLC.
Compte tenu de la gravité de cette compagne de dénigrement, je voulais garantir publiquement nos sympathisants, nos militants, l’Opinion Nationale et Internationale que le combat démocratique que mène le Collectif « Touche pas à ma Constitution » ne s’inscrit aucunement dans la logique de trahir la philosophie de notre Mouvement. Toute fois, nous vous invitons de publier le plus rapidement ce droit de réponse dans votre journal avant que le Collectif engage une procédure judicaire à votre journal.
Fait à Toulouse, 05. 02. 2014. Le Coordonnateur Général. Godfroy- Luther GONDJE- DJANAYANG. Ampliation : -Avocat