Nul n’est censé ignorer que la Centrafrique est un pays en sursis qui vit de l’assistanat aussi chronique qu’ignominieux et dont son état de coma végétatif laisse apparaître des organes fonctionnels au strict minima. Une baisse de régime qui nécessite et demande un traitement de grand malade mais malheureusement, elle ne reçoit qu’une thérapie illusoire et trompeuse.
Le coma végétatif en général délimite et marque la frontière entre la compétence humaine, de ce qu’un médecin chirurgien aussi réputé et qu' efficace soit-il peut faire, de ce qui relève du supranaturel. La Centrafrique est une comatique végétative. Tant que la communauté internationale au sein de laquelle se trouvent certains pyromanes, continuera à s’acharner sur elle par de fausse piste de résolution de crise, pour des objectifs qui ne sont pas la sienne, à la compresser pour libérer tout son jus à la satisfaction des prédateurs, le coma de la Centrafrique risquerait de s’éterniser dans le temps. Les appareils de maintien en vie c'est-à-dire l’assistance tous azimut portée à la Centrafrique devient tout simplement des moyens de pression, de prise de contrôle pour la maintenir dans un état de faiblesse et de dépendance aussi longtemps que ses élites ne sont que des simples figurants en friche, des je-m’en-fichistes pas du tout loquaces. TELLE EST LA RÉALITÉ CENTRAFRICAINE.
Voilà que les grands médecins du monde en la matière (la paix) accourent à son chevet, inoculé du poison dans le vaccin à administrer. ça s'appelle de l’acharnement. Ce qui revient à dire que, quand on incruste pernicieusement dans l’appareil de l’Etat, des assassins terroristes, c’est faire un report de la crise en avant dit aussi communément une fuite en avant, pour rendre l’avenir exécrable et ingouvernable. C'est programmer et planifier aujourd'hui, les futures massacres de la population. A qui en profite le désordre ?
A fortiori, la Centrafrique est dans le processus d'être plongée dans une mort cérébrale que je qualifierais de mort étatique c’est-à-dire de sa disparition. L’hypersensibilité de la situation centrafricaine impose tout simplement un rassemblement citoyen. Il est urgent de sortir du pouvoir oncogène, changer de traitement de la crise et une réaction de fermeté en face de l’aggravation de la situation sécuritaire. Mais sauf que, tout le monde ne jure que sur l’accord de Brazzaville qui est un chèque en blanc donné aux délinquants institutionnels au grand dam de la population qui se fait massacrer sous les yeux des soldats de l’ONU, de la Sangaris (les militaires français en Centrafrique). PLUS TU TUES ET TU DÉSTABILISES TOUTE UNE NATION, PLUS TU AS LA RECONNAISSANCE ET DE LA PROMOTION
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