Pour une solution de sortie de crise durable dans le temps en ce qui concerne la crise Centrafricaine il faut commencer par mettre fin et à écarter les vautours qui ne profitent en rien au peuple depuis des décennies.Ce sont les mêmes dinosaures qui hier, avaient échoué qui continuent de vendre leurs âmes à leurs faiseurs de roi qui se trompent depuis des décennies sur les préoccupations réelles des centrafricains. Prêts à brûler leurs villages natals pour devenir présidents, ces vautours se font éternellement passer pour des gens nouveaux.
La jeunesse Centrafricaine est oubliée et elle est mise sur le banc de touche. Le fossé entre riche et pauvre s’accroit, la mauvaise répartition des richesses, l’exploitation des ressources du sous sol ne profitent pas au peuple Centrafricain qui meurt de faim, de maladie depuis l’indépendance de leur pays. Les vautours, quant à eux réalisent de gros bénéfices et se partagent l’argent qu’ils volent au peuple.
Ils envoient non seulement leurs rejetons en métropole, mais ils y possèdent également des biens acquis illégalement .Les vautours ont également des comptes bien garnis en occident. La jeunesse centrafricaine doit se débarrasser de sa mollesse et rompre avec ces dinosaures qui pensent détenir le titre foncier de la RCA. Faute de quoi elle est appelée à disparaître.
La jeunesse consciente qui aspire au changement de mentalité doit bannir de son esprit le népotisme, la gabégie et le clientélisme qui ont fait le lit à la déperdition de la Centrafrique. L’une des solution à cette crise qui perdure encore est de recenser et éjecter toutes les personnes qui appartiennent au système qui fait la honte à la RCA depuis trois décennies. La jeunesse Centrafricaine est victime des vieux vautours ou éléphants assoiffés de pouvoir qui jouent le jeu de cette pratique nauséabonde pour s’enrichir sur le dos du peuple.
La jeunesse centrafricaine à l’instar de la jeunesse des autres nations aspire également à une évolution. Reléguée au second rang, un grand nombre d’entre elle se voit obliger d’ imiter les vautours en devenant égoïstes. Cette politique de la défense de intérêts personnels est à l’origine de la banque route du pays de Boganda.
SIMON – KOITOUA