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La Centrafrique toujours dans l’attente d’un gouvernement "élargi"
Publié le lundi 18 aout 2014  |  Jeune Afrique
La
© AFP par PACOME PABANDJI
La présidente centrafricaine Catherine Samba-Panza reçoit le nouveau premier ministre Mahamat Kamoun
Lundi 11 aout 2014. Centrafrique. Photo : Le nouveau premier ministre de la Centrafrique Mahamat Kamoun
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Les Centrafricains attendent toujours la formation d'un nouveau gouvernement "élargi" suite à la nomination du Premier ministre Mahamat Kamoun. Ce retard fragilise une transition déjà difficile et alimente les risques d'instabilité.
L'attente de la formation d'un gouvernement inquiète les diplomates en Centrafrique. "Il n'est pas bon de faire du sur-place. Nous sommes dans une période très frileuse où l'on doit prendre le maximum de précautions et surtout avancer dans la bonne direction", s'inquiétait lundi un diplomate onusien à Bangui.
Pour tenter d'accélérer les choses, le médiateur dans la crise centrafricaine, le président congolais Denis Sassou Nguesso, a convoqué lundi une dizaine de personnalités politiques, dont des représentants des groupes armés, selon une source proche de la présidence à Bangui. Leur délégation était attendue dans la journée à Brazzaville.
Plus d'une semaine après sa nomination, le nouveau Premier ministre Mahamat Kamoun n'a toujours pas formé son nouveau cabinet, face à l'hostilité affichée par l'ex-rébellion Séléka et le scepticisme de plusieurs formations politiques.
Depuis une quinzaine de jours, la Centrafrique est sans gouvernement, après la démission du Premier ministre sortant André Nzapayéké. Et surtout, au grand désespoir des "partenaires" internationaux de Bangui, rien n'a bougé depuis la signature au forceps fin juillet à Brazzaville d'un fragile accord de cessez-le-feu entre l'ex-Séléka à dominante musulmane et les milices anti-balaka majoritairement chrétiennes.
L'accord a été plusieurs fois violé, avec plus d'une trentaine de morts cette fin de semaine dans le nord du pays. Selon les témoignages des habitants, des villageois ont été massacrés par des éléments de l'ex-Séléka et des Peuls armés.
... suite de l'article sur Jeune Afrique

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