Au Burkina Faso, Ebola a eu raison du sommet extraordinaire de l’Union africaine qui devait avoir lieu à Ouagadougou du 2 au 7 septembre. «Un cas de force majeure», selon Djibrill Bassolé, ministre burkinabè des Affaires étrangères. Par ailleurs, les mesures de précaution continuent d’être renforcées dans les pays de la zone touchée par l’épidémie.
Ce sommet portant sur « l’emploi, l’éradication de la pauvreté et le développement inclusif » devait être l’occasion pour les chefs d’États et de gouvernement du continent d’évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre des engagements pris à Ouagadougou en 2004 dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans un contexte de mondialisation et de mutations technologiques, économiques, politiques et sociales.
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