À Bangui, les autorités centrafricaines de la transition ont le regard porté vers la tenue, encore incertaine, de l’élection présidentielle prévue à la fin de cette année. Une soixantaine de candidats sont en lice pour cette échéance qui mettra un terme à cette transition menée par la présidente Catherine Samba-Panza.
D’ici là, nombreux sont les défis à relever et tout est à faire ou presque, selon Jean-Jacques Demafouth, le conseiller à la présidence en charge de la sécurité et des relations avec Sangaris et la Minusca (Mission des Nations Unies en République centrafricaine). À commencer par la réconciliation. C’est ainsi que le Forum de Bangui réunira, courant avril, des représentants de la société civile, des groupes armés, des religieux, et des partis politiques pour débattre de l’avenir du pays.
... suite de l'article sur Autre presse