Le photoreporter de talent et parrain des 30 ans de l'inscription du Pont du Gard à l'UNESCO, expose une partie de son travail jusqu'au 31 mai en France
Edouard Elias, photoreporter de talent et parrain des 30 ans de l'inscription du Pont du Gard à l'UNESCO, expose une partie de son travail jusqu'au 31 mai dans une exposition dédiée à la légion étrangère en Centrafrique.
Dans le cadre des rendez-vous mensuels autour du patrimoine mondial, le Pont du Gard, situé en France, met à l'honneur "La préservation des biens et protection de l’humain" avec une exposition du jeune photoreporter gardois Edouard Elias.
À seulement, 23 ans, il est devenu une figure incontournable du photo journalisme dans les zones les plus dangereuses du monde, et rend compte de la réalité du terrain par des clichés époustouflants. Son coup d’œil est captivant, et la prise de risque est plus que courageuse. Edouard Elias est un personnage énigmatique, timide et réservé, mais surtout téméraire et baroudeur. C'est son voyage en Centrafrique qu'il a souhaité faire découvrir au public lors de cette exposition, avec un focus sur la légion étrangère, le 2 ème REI. "C'est aussi une bonne reconnaissance, pas sur le plan personnel, mais surtout pour ces hommes qui sont engagés là-bas."
L’exposition intitulée "Un monde de fracture", est constituée de 25 photographies couleurs au moyens formats (60x90), paysages et portraits.
À découvrir en Rive gauche. Visite comprise dans l'entrée site, de 9h à 18h en avril et de 9h à 19h en mai.