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AMINE Michel victime d’une escroquerie « made in camer » et d’un croc jambe « made in central african republic»
Publié le lundi 13 avril 2015  |  Corbeau News Centrafrique
AMINE
© Autre presse par DR
AMINE Michel, le président de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès
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Arrêté le 07 avril 2015 et gardé à vue dans les locaux du commissariat du port puis transféré au service des Recherches et d’Investigation (SRI) de la gendarmerie nationale pour enquêtes, le président de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès (UNDP), AMINE Michel serait victime d’escroquerie, selon les informations à notre possession, d’une structure camerounaise de communication qui, n’ayant pas respecté les clauses du contrat qui lie le leader de l’UNDP et elle, revendique le versement d’une somme supplémentaire de 100 millions de fcfa au président dudit parti politique centrafricain après que l’entreprise ait perçu déjà 50 millions de fca sans rien exécuter, depuis la date de signature du contrat par les deux parties. L’abracadabrante affaire de communication qui est sortie à la surface de l’eau défraie la chronique quand le représentant légal du cabinet OLOKO & Partners Inc, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, en guise de « droit de réponse » réagit à travers des sites camerounais, contre le refus de Michel Amine de faire le versement du montant supplémentaire demandé et procède à la résiliation du contrat. Ce qui explique clairement que l’affaire a explosé depuis le Cameroun en date de publication de l’article du journal « Repères » du Cameroun le 19 novembre 2014 qui a titré à la Une « Présidentielle Centrafricaine : la police camerounaise fait chanter un candidat ». Selon les termes du conseil de Michel AMINE, le camerounais Me ANDEGUE ONANA Daniel Désiré, qui remonte les bretelles à ce professeur qu’il qualifie de tous les noms, l’article a suscité la réaction d’une rare atrocité de sa part. Très énervé et dévergondé puisqu’il n’a pas réussi cette fois-ci à la deuxième escroquerie, il se permet de diaboliser celui à qui il rendait tous les honneurs royaux en l’appelant « Très haute personnalité», voire « Très cher Président ». « Le candidat à la Présidentielle Centrafricaine a été surpris de recevoir le 22 octobre 2014 à 22 h 15 mn, alors qu’il jouissait d’un repos paisible à sa résidence en France, une convocation téléphonique de la police, notamment du chef de secteur de la Direction de la Surveillance du territoire (DST) du Littoral, par laquelle on le conviait à venir répondre au Cameroun, sur hautes instructions du DGSN, des faits relatifs à l’exécution et la rupture du contrat de prestation de services d’avec le cabinet OLOKO &Partners Inc, dont il aurait été saisi ». L’article 3 du contrat qui lie les deux parties traite de la clause de confidentialité. Or, le professeur Manassé ABOYA ENDONG, en réagissant de telle sorte pour le cabinet OLOKO & Partners Inc, le sacro-saint principe est bel et violé.

Ce litige de marketing de communication politique nous amène aux interrogations relatives à l’effectivité de l’engagement du cabinet OLOKO & Partners Inc qui ne s’est pas assumé depuis la date de signature du contrat. Le cabinet que représente légalement le professeur Manassé ABOYA ENDONG, a-t-il encaissé ou pas le montant du premier versement (50.000.000 Fcfa) ? Si tel est le cas pour la seconde hypothèse, c’est le représentant du cabinet le professeur Manassé ABOYA ENDONG qui doit rembourser le président de l’UNDP, Michel AMINE puisqu’il a floué le cabinet. Et juridiquement, c’est au cabinet de poursuivre son représentant légal dans le cas où ce cabinet composé des experts cités qui sont messieurs Achille MBOG PIBASSO (journaliste), Ebénezer KENGUEP (expert judiciaire), Thierry NJIFEN (stratège politique), Joseph Désiré SOM II (stratège politique), Christophe NGASSU (Infographe et Chef d’Entreprise), Christian TCHAMEN (Webmaster et Chef d’entreprise) dans le droit de réponse du conseil du président candidat de l’UNDP à la présidentielle centrafricaine de 2015 n’a pas eu les 50.000.000 Fcfa. A moins que ce soit un groupe de fée-men qui a profité de la naïveté du président de l’UNDP nouvellement entré en politique pour l’escroquer. On s’interroge aussi sur le silence absolu du président de l’UNDP qui s’est fait rouler dans la farine depuis qu’il y a un non-respect des clauses du contrat de la part de l’autre partie. L’article 3 dudit contrat parle de la clause de confidentialité mais en matière d’argent, on ne peut accepter de se faire escroquer jusqu’à un tel montant et se taire. A moins qu’on est mafieux comme ses partenaires avec qui on traite des affaires qui engagent la vie d’un parti politique pour ne pas dire une nation qu’on est appelé à gérer d’ici demain si l’on a la chance de gagner les élections.

S’agissant du coup-fourré centrafricain, c’est purement et simplement de la mauvaise foi des détracteurs du président de l’UNDP qui venait de démettre en bloc les membres de son bureau politique lors de sa dernière conférence de presse pour détournements de fonds, mensonges et comportements peu orthodoxe contraire à la bonne marche de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès. Selon les informations relatives aux pièces officielles du président Michel AMINE publiées sur le réseau facebook par qui ou quels sites qui n’ont pas déclinés honnêtement leur identité, le président Michel AMINE qui ne reconnaît avoir que deux passeports, notamment de la Centrafrique et du Cameroun, avec lesquels il voyage régulièrement en passant par le service policier des aéroports, est victime d’un coup bas à caractère politique qui est un virus qui contamine le paysage politique centrafricain et difficile de quitter le corps des leaders politiques va-t-en-guerristes qui ne veulent pas voir de bon œil le succès ou la victoire d’un challenger. Alors qu’en politique, il faut aussi compétir avec l‘esprit de fair-play comme au football ou d’autres disciplines sportives. Puisque ce sont les règles de la démocratie. Il faut savoir gagner ou perdre et accepter la défaite. Mais en Centrafrique pour ne pas dire en Afrique, on ne veut pas reconnaître sa défaite parce que la jalousie déborde les bornes…

Pour connaître la vérité sur cette affaire qui arrache les cheveux, on est tenté de nous poser la question d’où sort ce passeport de nationalité afghane. Il ne manquera pas certes, d’autres hommes politiques centrafricains en lice pour la présidentielle de l’année en cours derrière cette nuisance. Surtout que le président de l’UNDP, Michel AMINE gagne en popularité et ferme la bouche des autres candidats avec ses billets de banque qu’il distribue et dont l’origine, nulle ne connait. Un autre faux passeport irakien a été publié sur facebook pour confirmer l’originalité du document falsifié.

Il y a lieu de dire ici que ces spécialistes de montage de faux documents méritent d’être poursuivis par la justice des deux pays ; c’est-à-dire l’Afghanistan et l’Irak même voire de la RCA. Car, ils ont la capacité de falsifier le passeport biométrique centrafricain. Et d’où sort ce passeport irakien qui porte le nom d’un certain Joseph M. NHLANHLA avec la photo d’un jeune homme ayant la morphologie d’un centrafricain si l’on fait bien l’analyse?

Il y a lieu aussi de s’interroger dans cette affaire juridico-politique, à qui la faute ? Pourquoi les candidats à la présidentielle qui sollicitent les voix de leurs compatriotes pour le futur scrutin leur tournent-ils le dos ? Comment est-ce que nous allons gérer le pays d’ici demain si nous ne pensons pas déjà à préoccuper les centrafricaines et les centrafricains qui souffrent d’une extrême pauvreté? Loin d’être chauvin ou xénophobe ! D’ailleurs, je suis panafricaniste. Je me souviens, pour réfectionner l’ex primature centrafricaine, un candidat à la présidentielle en préparation avait préféré faire appel à une entreprise d’un pays voisin que je me taise de citer la nationalité, comme s’il n’existait pas d’entreprise en Centrafrique qui pourrait faire le travail de réfection de la peinture et de carrelage. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Je considère cela comme de l’argent jeté à la fenêtre. C’était à l’époque du régime président Patassé. Et aussi, faut-il le relever, durant dix ans de règne du président Bozizé, beaucoup des marchés publics étaient au profit des hommes d’affaires tchadiens qui le prenaient en otage à la présidence de la République. A quand alors, les leaders politiques centrafricains prendront-ils conscience de ces réalités malheureuses et vont se démarquer pour se mettre résolument au service de leurs compatriotes pour améliorer leurs conditions de vie et faire avancer le pays dans la même vision du président fondateur de la République Barthélemy BOGANDA qui a voulu le faire, à travers les cinq verbes du MESAN qui sont : nourrir, soigner, loger, vêtir et instruire?…

En tout cas, concernant les futures élections présidentielles, il serait mieux de laisser les candidats libres dans l’exercice de leur programme de candidat à la présidentielle que de leur mettre les bâtons dans les roues pour nuire alors que le véritable problème se trouve ailleurs. La détermination sera faite lors des campagnes électorales de l’année en cours. Les centrafricains auront le dernier mot et la dernière décision de choisir leur futur président. En attendant, la justice doit faire son travail et dire rien que le droit dans cette affaire de roublardise dont la source est bel et bien hors de notre territoire national.
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