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Nous refusons de tirer sur l’ambulance nommée Roger Bongos
Publié le jeudi 16 avril 2015  |  Centrafrique Libre
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Nous refusons de tirer sur l’ambulance nommée Roger Bongos

Le moralisateur autoproclamé, le sieur Roger Bongos, a fait une sortie à la fois intempestive et bien étrange par un posting publié dans sa feuille de choux intitulée Afrique rédaction. Il s’est arrogé, pince-sans-rire, le rôle du censeur de la Rome antique agissant ici sous l’étendard d’une prétendue corporation des journalistes de la communauté congolaise pour, dit-il, s’insurger contre madame Candide Okeke, directrice de Cabinet du président national de l’Apareco. L’épanchement de Roger Bongos avec la mystification qui l’entoure ne peut jamais émousser la mémoire commune des patriotes que ce monsieur traîne comme un boulet d’énormes casseroles criminelles dont il devra rendre des comptes au peuple congolais à la libération de notre pays. Le journaleux Roger Bongos est tellement obsédé par la personne de monsieur Honoré Ngbanda que le laisser dans cet état équivaudrait à la non-assistance à une personne malade car son cas mérite un internement de longue durée dans un asile psychiatrique.

Après avoir fait énormément couler le sang des Congolais alors qu’il faisait partie du RCD qui recevait des ordres directement de Kigali, le sieur Roger Bongos, avec la mise en place du gouvernement de transition en 2003, ce monstre institutionnel de 1+4=0, est revenu sur le quota du RCD brièvement travailler au bureau d’études à l’Hôtel de Ville de Kinshasa. Ceux qui l’ont connu gardent de lui le souvenir d’un assoiffé d’argent qui montait tout le temps de faux états de besoin pour des travaux imaginaires, rien que dans le souci de renflouer ses poches. S’étant brouillé avec ses supérieurs hiérarchiques à la suite de quelques larcins et autres concussions dont il était tenu pour principal responsable, cet oiseau de mauvais augure atterrit en France à la manière de l’indésirable petit cheveu dans la soupe. Il a tâté d’abord le terrain pendant quelques mois, le temps pour lui de comprendre la logique et le fonctionnement de certains milieux des « combattants », ensuite le sieur Roger Bongos s’est affublé comme par miracle du titre de journaleux de ces combattants. Pour son cas, je m’interdis l’emploi du terme de journaliste qui est bien galvaudé par certains Congolais au risque évident de verser, à mon corps défendant, dans la corruption sémantique de ce mot pour désigner tout premier quidam venu.

Bien trituré par l’aigreur et la rancœur qui l’habitent et ce, pour des motifs qui lui sont propres, le journaleux Roger Bongos n’a pas hésité à déverser son fiel sur madame Candide Okeke, faute d’atteindre directement le président national de l’Apareco, l’accusant aussi gratuitement d’immaturité communicationnelle. Ça se serait su depuis longtemps si ce prophète du malheur de la RDC, comme l’écrivait en mars 2012 le compatriote Jérémie Kado du site Kongo Time, était un spécialiste de la communication ainsi qu’il a l’air de nous le faire croire. Dans l’entendement perturbé du sieur Roger Bongos, il faudrait que madame Candide Okeke l’invite aux interviews du président national de l’Apareco et père de la résistance congolaise, celui-là même pour qui il nourrit une grande exécration. Par ailleurs, en écoutant le prétendu journaliste d’EDTV qui avait interviewé la directrice du Cabinet, j’ai eu ce drôle d’impression d’être dans un tribunal de l’inquisition comme au Moyen-âge. Monsieur Honoré Ngbanda n’est pas un idiot encore moins un masochiste pour accepter, sous de fallacieux motifs d’interview, s’offrir à ses bouchers et à ses détracteurs tel un mouton amené à l’abattoir.

Que tous ceux qui caressent secrètement le rêve de dénigrer, de vilipender, de trucider à moindres frais monsieur Honoré Ngbanda sous les spots de leurs studios de télévision ou de radios, sachent une fois pour toute que leur vœu démoniaque ne sera jamais exaucé ni accompli. Le président national de l’Apareco, n’étant d’ailleurs pas en manque des moyens médiatiques et de communication, continuera à utiliser les radios patriotiques et autres supports de communication pour répandre son message de la résistance et du réveil de la conscience patriotique en vue de la libération de pays.

Que la meute de cerbères le tienne pour dit.
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