Selon une source judiciaire française, 14 soldats français sont mis en cause pour viols présumés d'enfants en Centrafrique. Mais seul une petite partie d'entre eux ont été identifiés.
Après les révélations du quotidien britannique The Guardian, mercredi, au sujet d'une affaire de viols présumés d’enfants en Centrafrique, en 2014, par des militaires français de l'opération Sangaris, les langues se délient du côté des autorités françaises concernées. Après le ministère de la Défense, qui a confirmé mercredi avoir été saisi de l'affaire, une source judiciaire française est revenue sur l'enquête ouverte en juillet 2014 par la section des affaires militaires du parquet de Paris.
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