Le ministre centrafricain de la Justice, Aristide Sokambi, a indiqué hier que les militaires français soupçonnés de viols d'enfants dans son pays seront "poursuivis".
"C'est quand même des actes très graves. [...] J'insiste sur le fait qu'il ne faut pas d'amalgame, ce n'est pas “Sangaris”, ce n'est pas la France. C'est des individus, c'est des militaires et c'est contre ceux-là que nous nous insurgeons", a-t-il déclaré.
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