On dit toujours que « c’est dans le malheur qu’on connait des vrais amis(es) » mais le cas de notre pays me laisse perplexe. Je dirai plutôt que c’est dans le malheur qu’on peut connaître son ennemi. Un haut dignitaire africain disait à l’époque qu’il faut refuser systématiquement et catégoriquement l’aide proposée par quelqu’un qui se porte volontaire lorsque tu te trouves dans des moments difficiles ou la traversée du désert. L’exemple des militaires français violeurs vient de confirmer cette thèse.
En effet, la pauvreté et les conflits à répétition en Centrafrique nous ont rendu aveugles et vulnérables à tel point qu’on est obligé d’accepter tout ce qu’on nous propose comme aide par certains pays sans faire une analyse préalable. Cependant, les pays qui manifestaient leurs volontés pour nous aider au lieu de nous envoyer des vrais militaires avec des matérielles adéquates pour ramener rapidement la paix entre les belligérants. Ces derniers préfèrent remplir l’avion militaire avec des pédophiles, des prédateurs sexuels, des préservatifs et biscuits afin d’aller aggraver la souffrance de ces enfants déjà martyrisés. Ces enfants ont eu une double peine: la guerre et le viol.
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