Un accord pas facile à obtenir. Hésitations et reculades ont divisé les responsables des groupes armés au moment même de sa signature.
Il s’agit principalement de 5 fractions de l’ex-Séléka et du mouvement Anti-balaka.
L’accord, signé en l’absence des représentants du Front démocratique du peuple centrafricain, FDPC d’Abdoulaye Miskine, très actif dans le nord-ouest du pays, prévoit le regroupement et l’identification dans un bref délai des combattants dans les différents sites indiqués, et une prise en charge assurée par le gouvernement avec l’appui des partenaires.
Pour Herbert Gontran Djono Ahaba qui a signé le document au nom de son mouvement, le Rassemblement patriotique pour le renouveau de Centrafrique, RPRC issu de l’ex-Séléka, il faut faire taire les armes. ‘’Je pense qu’il est temps que le peuple centrafricain puisse retrouver la paix et le pays doit être pacifié’’, a-t-il souligné.
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