Le peuple centrafricain a certainement raison de vouloir siffler la fin de la récréation animée par la cheffe d’orchestre Cathérine Samba-Panza dans les jours à venir. Elue par des conseillers nationaux, lesquels sont devenus représentants du peuple centrafricain par intérim grâce aux affinités qu’ils avaient avec les leaders des partis politiques controversés, CSP et ses proches sont en train d’achever ce qui reste de la République centrafricaine.
En à peine 10 mois au pouvoir, il pèse sur Cathérine Samba et ses proches des soupçons d’enrichissement illicite au grand dam des centrafricains qui sont encore sans abris ou qui végètent dans la brousse comme des bêtes sauvages.
Selon des sources crédibles la présidente Samba-Panza a acquis un somptueux pavillon dans la riche ville de Neuilly sur Seine à proximité de la Défense, un des plus grands quartiers d’affaires d’Europe près de Paris.
L’ami de la présidente et ancien premier ministre André Nzapayèkè a obtenu 300millions de FCFA au titre des indemnités de licenciement comme si la Centrafrique était une entreprise du CAC 40(Groupe des grandes entreprises françaises). Ce dernier qui n’a pas franchi la barrière du PK12 ne s’est pas empêché d’acheter au Bénin une villa avec piscine pour la modique somme de 300millions de FCFA.
L’actuel PM kamoun et non moins le cerveau du détournement d’une partie des 10milliards angolais qui sont en train de précipiter la fin du régime aurait désormais un compte bien garni au Cameroun où vivrait sa femme légitime. Sa maîtresse Rachèle Ngakola,DG des Douanes qui est sur la sellette est devenue très riche grâce à la suppression de la bancarisation aux douanes qui lui permet de réceptionner en mains propres les recettes en provenance du port de Douala, de la frontière Béloko et de Bangui qui sont les seuls sites actuellement une en service.
Cette dame est tellement riche qu’elle n’a
Optimiste, Stéphane Sappot, le fils aîné de la présidente qui vient de prendre sa mise en disponibilité s’est procuré récemment un gros cylindré. Un audi Q7 qu’il a aussitôt envoyé à Bangui
Alors que la communauté internationale et le monde s’activent au chevet du malade centrafricain à travers des aides multiformes, ses dirigeants en profitent pour s’enrichir indûment pendant que des orphelins et les veuves meurent de faim. Pire ces derniers passent leur temps à Bangui la capitale où il y a un semblant de sécurité voyager en dehors du territoire centrafricain.