La nouvelle mission de maintien de la paix des Nations unies en République centrafricaine, qui a commencé à exécuter son mandat le 15 septembre 2014, est confrontée à son plus grand défi à ce jour, suite aux violences qui ont éclaté à Bangui ces derniers jours. C'est ce qu'a déclaré jeudi dans un communiqué l'ONG de défense des droits humains Amnesty International (AI).
« Ces violences présentent le plus grand test à ce jour pour la MINUSCA », a déclaré Christian Mukosa, chercheur d'Amnesty International sur la Centrafrique, dans une interview avec la Voix de l'Amérique (VOA). La MINUSCA doit faire tout son possible pour protéger les civils menacés par le regain de violence, a-t-il poursuivi. D'autant que jusqu'à présent, les autorités de transition sont restées silencieuses sur la crise.
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