Fort de ce constat, après avoir réalisé un état de lieux de la transition centrafricaine, notre expertise relève que l’immobilisme, l’amateurisme, le clientélisme ethnique, l’impunité, l’incompétence sont les quelques maux qui gangrènent effectivement la République Centrafricaine depuis un moment jusqu’à ce jour.
Généralement le traitement d’une crise invite souvent les analystes à procéder aux déploiements des actions en fonction de la nature de chaque crise, alors compte tenu de la particularité de la crise centrafricaine, je mets à contribution cette solution structurante intitulée la méthode de triple action comme l’une des solutions liées à la crise centrafricaine :
- Rendre obligatoire le grand oral du premier ministre et ses ministres de manière mensuelle devant le Conseil National de Transition,
- La création d’une institution intitulée le laboratoire d’idée, (piloter par des Chercheurs, des Universitaires, des Experts dans tous les domaines du savoir),
- La mise en place d’une commission impartiale chargée d’évaluer les actes posés par les institutions de la Transition.
« F(x)x 0x sans évaluation politique= ?».