Le cadre de concertation sur les élections a souhaité que les Centrafricains réfugiés hors du territoire national ne puissent pas voter lors des prochaines élections pour des raisons de transparence
Le cadre de concertation sur les élections, une structure du ministère de l’Administration du Territoire, a souhaité que les Centrafricains réfugiés hors du territoire national ne puissent pas voter lors des prochaines élections, à l’issue de deux jours de réflexion sur le nouveau calendrier électoral.
Le cadre de concertation a souhaité un réaménagement du calendrier électoral et justifié sa requête de voir exclu du processus électoral les Centrafricains réfugiés à l’étranger parce que leur vote pourrait comporter des risques de fraudes.
Le cadre de concertation sur le processus électoral n’a pas remis en cause le vote de la diaspora centrafricaine mais celui des Centrafricains ayant le statut de réfugiés dans d’autres pays.
L’Autorité nationale des élections (ANE) a ouvert des bureaux de vote par zone géographique. En Afrique centrale, le Congo Brazzaville, le Tchad, le Cameroun dispose chacun d’un bureau de vote.