Le chef de la mission des Nations Unies sur place en Centrafrique (la Minusca) a dénoncé ceux qu’il qualifie d’agitateurs et exige une réponse politique, globale pour mettre fin aux violences.
Le général Babacar Gaye a indiqué qu’il faut expliquer sans cesse à la population qu’il y a un processus qui donnera à chacun l’occasion d’exprimer ses préoccupations et ses aspirations.
"Il y a un problème de réconciliation, il y a un problème de cohabitation entre les communautés. C’est le peuple centrafricain qui doit le faire", a-t-il souligné.
Selon lui, la Centrafrique est au bord du gouffre en raison des gens qui " n’ont aucune vision" pour leur pays".
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