Une nouvelle tentative de réconciliation nationale pour ramener la paix en Centrafrique s’est ouverte ce lundi 21 juillet à Brazzaville. Au rendez-vous, des représentants des milices en conflit, du gouvernement centrafricain et de pays voisins, et quelque 200 Centrafricains issus de la société civile et des partis politiques. Mais les négociations patinent.
Principal objectif de ces 3 jours de discussions : se mettre d’accord sur un document qui engage les groupes armés à immédiatement cesser les hostilités. Une urgence selon le médiateur congolais Denis Sassou Nguesso, notamment en vue de l’arrivée de la mission de paix de l’ONU le 15 sept. Mais ce qui s’annonçait comme la signature garantie d’une cessation des hostilités se révèle un peu plus compliqué que ça. Car lundi à la fin de la première journée, les positions entre Seleka et anti-balaka semblaient de nouveau assez éloignées, et la Commission sur la cessation des hostilités semble avoir fait chou blanc.
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