Forcés de quitter leurs pays en masse depuis décembre 2013, les musulmans centrafricains qui reviennent et ceux qui sont restés au pays pratiquent désormais ouvertement et sans crainte leur religion. L’apaisement de la situation sécuritaire et le retour progressif de la cohésion sociale permet aux fidèles musulmans de prier et de jeuner pendant le ramadan sans être inquiété. Quelque chose qui était encore impensable l'année dernière.
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