Madame la présidente,
Je viens par la présente note, exprimer mon indignation et ma colère face aux massacres répétés sur mes compatriotes centrafricains vivant dans les arrières pays.
Comme vous le savez si bien, des villages ont été attaqués et saccagés à plusieurs reprises par les armes. Des hommes, femmes et enfants ont été décapités comme des porcs qu'on égorge à la boucherie.
Aujourd’hui, nous apprenons encore que des nouveaux massacres ont été commis, semant une plus grande désolation sur l’axe Bouar-Garoua Mboulai et dans toutes les régions avoisinantes. Ce que je trouve de plus tragique, ce n'est pas la méchanceté et la haine qui animent les groupes armés qui accomplissent ces actes horribles, mais plutôt le silence et la passivité du peuple centrafricain (vivant au pays et à l'étranger), des autorités centrafricaines et la communauté internationale.
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