La gestion de la chose publique sous le règne de François Bozizé était tellement opaque qu’on s’était cru au temps de Néron. Fâcheusement, plus de deux années après, les mêmes pratiques continuent au point que l’on se demande, ce pays est-il maudit ? Le contrôleur général traite-t-il les dossiers sur la tête des clients ?
Selon des sources bien indiquée, il y a une guerre froide entre le Contrôleur Général logé à la Primature et certaines sociétés et structures d’Etat dont les comptes sont placés sous séquestre à la Banque. Selon les instructions, les sociétés d’Etat fonctionnent sur la base d’un programme d’emploi qui expriment leurs besoins. C’est une fois ce programme d’emploi validé par le Contrôleur Général qu’elles seront habiletés à avoir accès à leur compte. Mais visiblement, il y aurait d’autres critères ignorés du grand public.
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