Le préfet de la Kémo, Lazare-Morales Ngaya, a relevé plusieurs points, qui freinent la réhabilitation des bâtiments administratifs, dans sa localité. Une plainte exprimée lors Lors d’une mission effectuée par le
RJDH à Sibut du 2 au 3 août.
Selon l’autorité administrative, s bâtiments administratifs, y compris la résidence du préfet de la Kémo ne sont pas encore réhabilités. D’autres structures telles que les bâtiments qui abritent le marché central, le bureau de la préfecture, le palais de la justice de la ville de Sibut, sont partiellement réaménagés.
« De nos jours, le préfet est hébergé à la mission catholique de la ville de Sibut, parce que la résidence du préfet a été détruite pendant la crise militaro-politique », un constat fait par Marguerite Laomaye, secrétaire générale de la préfecture de Kémo.
Les activités judiciaires se déroulent à la gendarmerie et à la police. Par manque de prison, « les présumés auteurs des délies sont gardés dans les cellules de la police et de la gendarmerie. Les cas graves sont transférés à Bangui », a-t-elle ajouté.
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