Nous tenons à relever le caractère contraignant du troisième calendrier électoral publie par l’ANE et surtout le syndrome de l’impréparation et du pilotage à vue qui minent l’actuel processus électoral en Centrafrique.
Nous rappelons notre opposition à une transition élastique, une transition inféconde à la quelle, l’on habitue les Centrafricains depuis plus de dix huit mois aujourd’hui malgré les limites incontestables de ceux qui, par la force des choses, se sont retrouvés à la tête de cette nation meurtrie. Une transition qui, surtout n’a jamais su apporter des réponses idoines aux multiples problèmes vitaux auxquels sont confrontés nos concitoyens.
Malgré tout, Nous refusons de s’inscrire dans les mascarades électorales qui ne respectent pas la violenté du peuple, porteuses d’un espoir à la solution de la crise sociopolitique.
Nous ne saurons admettre que les prochaines élections soi enté maillés ou entachés de fraude massive sacrifiées sur l’hôtel d’intérêts égoïstes et politiques d’une frange de leaders qui ne jurent qu’au nom du pouvoir.
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