Un vent de bon sens commence à souffler, dans le microcosme politique centrafricain et dans les groupes de pression étrangers, avec à leur tête la France. Maintenant que la caducité de ces dates irréaliste est avérer. Que la population centrafricaine, ne veut pas d’élections bâclées, aux résultats, contestés sources de chaos.
Il faut tout remettre à plat. Dissoudre le Conseil National de la Transition et le gouvernement. Qui ont failli à leur mission dont la primauté était, de ramener la paix et la réconciliation. La Présidente de la transition comme prévue, devrait démissionner.
Tous les postulants à la magistrature suprême du, pays devraient cesser de battre campagne. Et réfléchir à d’autres nouvelles entités qui se préoccuperont, d’abord de l’instauration de la paix et d la réconciliation. La garantie des frontières sûres, par une Armée Nationale opérationnelle. Les contours et les missions de ces nouvelles entités seront définis après consultations du peuple centrafricain. Il faut, si l’on veut sortir de la cacophonie des mauvaises gouvernances, qui sévi depuis prés de soixante ans, il faut des têtes nouvelles.
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