Qui pourrait croire à la scène ? Loin des caméras mais pas loin des médias, Alexandre N’guendet s’est illustré négativement. Comme un enfant de chœur au moment de la préface, Alexandre N’guendet s’est agenouillé devant ses pairs pour exiger le vote des réfugiés. Certainement que l’eau et l’argent ont coulé sur le pont avec un peu de dose de pressions. Mais à qui va profiter cette insulte à la fois juridique et historique.
N’guendet, un bon metteur en scène…
La scène s’est déroulée dans la matinée de ce mardi 18 août 2015 au palais du Conseil National de Transition. Les conseillers nationaux étaient conviés à la réunion de concertation afin de préparer les réponses à donner sur le vote des réfugiés. Et la surprise sera énorme. Le Président du Conseil National fit son entrée comme Arlequin ou Molière et tomba à genou devant ses pairs pour leur demander de se prononcer en faveur du vote des réfugiés. Pour N’guendet, « de son vivant et homme d’Etat, il ne peut pas admettre que l’institution qu’il dirige puisse chavirer ».
... suite de l'article sur Autre presse