Nous voulons à travers ce droit de vote, une transition apaisée et transparente, a déclaré Alexandre-Ferdinand Nguendet, président du CNT. Le parlement de transition avait rejeté lors d’un premier vote en juin dernier cette disposition contenue dans le projet de loi électorale, Mais la Cour constitutionnelle centrafricaine, dont les décisions s’imposent à toutes les autorités administratives et juridictionnelles, avait estimé le mois suivant que "la non prise en compte du droit de vote des Centrafricains déplacés et réfugiés" était une "violation" de la Charte constitutionnelle.
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