Les opérations du recensement électoral ne sont pas encore effectives à Bakouma, selon Jean Noel Kinazounda, président de l’autorité sous préfectorale des élections. Une situation qu’il déplore et évoque l’insécurité comme l’une des raisons de ce retard.
C’est depuis le 21 août dernier que la formation des agents recenseurs a pris fin dans cette région. « Ce retard d’enregistrement est lié à l’insécurité qui perdure sur l’axe Bangassou Bakouma. La plupart des matériels sont restés à Bangui », a relevé Jean Noël Kinazounda.
Sur 65 centres d’enregistrement que compte la sous préfecture de Bakouma, deux seulement sont opérationnels. La plupart des centres est implantée au centre Nzacko et Bakouma centre.
« Une partie des formulaires d’inscription, déployée par l’équipe de formation, a servi l’enregistrement de quelques électeurs dans les villages Zabin et Kitigra et ont le 1er Septembre.
Des cas d’agressions perpétrés par des hommes armés ont été signalés dans cette région. le dernier cas remonte au mardi 1er septembre où des hommes en arme, qui ne sont pas identifiés, ont aussi ouvert le feu sur des passants aux villages périphérique de Bakouma