Les Jeux africains du cinquantenaire se sont achevés ce 19 septembre 2015 à Brazzaville. L’occasion de dresser un bilan des points positifs et négatifs de cette 11e édition.
LES TOPS
Les infrastructures. Pour ces Jeux africains 2015, le Congo s’est doté d’équipements sportifs sans équivalents en Afrique centrale.
Le Congo est au passage devenu une alternative crédible aux pays d’Afrique du Nord et d’Afrique australe pour accueillir les compétitions continentales, grâce notamment au Palais des sports de Kintélé et à son Centre Nautique. Les autorités congolaises l’assurent d’ailleurs : des dirigeants de confédérations sportives ont d’ores et déjà exprimé leur souhait d’organiser un Championnat d’Afrique à Brazzaville. Le prochain Afrobasket pourrait ainsi avoir lieu dans la capitale congolaise.
Seul bémol, le Stade de l’Unité (60.000 places) est sans doute trop grand pour accueillir les supporters de l’équipe nationale de football.
Il faudra en outre utiliser régulièrement et entretenir cet énorme patrimoine sportif.
L’ambiance à Talangaï. De tous les sites ayant accueilli des épreuves, le gymnase de Talangaï est sans doute celui où l’ambiance était la plus folle. Les Congolais sont férus de sports de combat et la passion manifestée lors du tournoi de boxe était impressionnante. L’effervescence était également forte lors de la compétition de judo.
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