Tout en étant triste pour ce pays qui se meurt, je regrette l’inaction et l’indifférence des forces onusiennes plus préoccupées à faire des affaires grâce à leurs salaires astronomiques et à satisfaire leur bas besoin qu’à exécuter réellement le mandat que leur confèrent les différentes résolutions des Nations Unies.
J’ai appris avec une grande tristesse et la plus complète consternation la nouvelle des douloureux événements qui ont ensanglanté Bangui, faisant de la capitale centrafricaine le nouveau Mogadiscio au coeur d’Afrique centrale.
Je ne trouve pas de mots assez forts pour condamner avec la dernière énergie ces actes odieux qui réveillent en nous les pires moments de notre histoire.
J’adresse mes sincères condoléances à l’ensemble des familles endeuillées et leur exprime ma solidarité.
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