Est-ce pour vendre du rêve ou un besoin d’affirmer le sérieux de ses recherches que la Fondation Mo Ibrahim a fait venir, lundi 5 octobre à Londres, un parterre de personnalités ayant œuvré ces dernières années dans le domaine du développement social et économique en Afrique ? Parmi elles, des célébrités comme Valérie Amos, ancienne secrétaire générale adjointe des Nations unies aux affaires humanitaires, Donald Kaberuka qui a présidé la Banque africaine de développement pendant dix ans, jusqu’en septembre dernier, Mary Robinson, l’envoyée spéciale des Nations unies pour le changement climatique ou encore d’anciens dirigeants africains comme le Tanzanien Salim Ahmed Salim et le Bostwanais Ketumile Masire.
... suite de l'article sur LeMonde.fr