Lorsque sur terre, le mensonge devance et retarde la vérité, en Syrie, en Afghanistan, en Israël, en Palestine, en Centrafrique, au Niger, au Cameroun, au Nigeria, au Tchad, etc. ; quand on ne sait quelle voie conseiller face au succès du mensonge dans un monde si menacé et menaçant où vivent les formes les plus brutales de terrorisme et de maladies, on ne peut que tenter de sauver l’Homme, cet « être abominable et pervers (…) qui boit l’iniquité comme l’eau » (Job 15:16), justement de ce mensonge qui l’enlise si aisément.
Le mensonge et la vérité.
Dans Les rêveries du promeneur solitaire, 4è promenade, Jean -Jacques ROUSSEAU nous invite à sortir victorieux par la vérité dans le conflit qui l’oppose au mensonge. Selon lui, le mensonge, c’est ce qui blesse, ce qui nuit et va à l’encontre de la justice et de la vérité. Que le mensonge provienne de « la mauvaise honte » ou « d’une intention de nuire », le mensonge est « une horreur », c’est même un « vice ». Pour nuire, les politiques, dans les pays sus-mentionnés et même ailleurs sont devenus des inventeurs de choses fausses. Ce type de savant n’éprouve aucun remords.
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