Pour l’ambassadeur, ce sont des actes inciviques qu’il condamne : «On ne peut cautionner des criminels ; il faut dénoncer tout cas de soupçon parmi vous. Et surtout respecter les lois du pays d’accueil», s’exprimait-il à l’égard de ses compatriotes. Le rapport de cet entretien tenu avec les siens a été transmis le lendemain aux forces vives de la région de l’Adamaoua.
C’était au cours d’une rencontre tenue le 27 octobre dernier dans les services du gouverneur de la région. L’objectif était de rassurer l’opinion nationale et internationale que l’Etat de la Centrafrique est aux côtés du Cameroun dans la lutte contre l’insécurité dans les frontières.
L’occasion aura été également donnée au représentant du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (Hcr) au Cameroun pour lever toute équivoque sur les informations indiquant que ce dernier ne voulait pas coopérer avec les forces de défense en refusant d’accorder une fouille complète dans les sites des réfugiés. «Ce n’est pas exact, les forces de sécurité ont mené des opérations de fouille dans les deux camps, aucune arme n’a été trouvée.
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