Présidente par intérim de Centrafrique depuis janvier 2014, Catherine Samba-Panza doit faire face à un regain de violences dans son pays, déchiré par les affrontements intercommunautaires.
Un an et demi après le début du processus de transition, la violence est toujours prégnante en Centrafrique après plus de 60 morts depuis septembre.
Catherine Samba-Panza, présidente par intérim de la République centrafricaine, a lancé un appel à toutes les enfants, « aux groupes armés chrétiens et musulmans », afin d' »essayer de recoller les morceaux de la cohésion sociale qui était en lambeaux. » Bien qu’elle se dit « meurtrie » par la situation actuelle après le regain de violences en septembre, elle estime toutefois que « quand on regarde d’où nous venons, on ne peut pas parler d’échec ».
... suite de l'article sur Autre presse